Podcasts

  • S2 E1: With... Jenny Mitchell - Welcome back to Behind the Glass with this early-release first episode of series 2 ! Sam and new co-host Connie talk to prize-winning poet Jenny Mitchell...
    4 weeks ago

Monday, July 07, 2008

It was not enough that some time ago there were rumours associating Lindsay Lohan with John Maybury's Wuthering Heights film project. Now the Cleveland Plain Dealer announces the release of a new book with the following comment:
6. "Why You Should Read Kafka Before You Waste Your Life" The gaunt, intense author of "Metamorphosis" was really a porn-lovin' rich kid with lots of fans. What's next? News that Emily Bronte was the Lindsay Lohan of her time? In bookstores Thursday. (Andrea Simakis)
The Huntsville Times publishes yet another article about academic summer readings. This time it is written from a positive perspective:
I then moved to "Wuthering Heights," written by Emily Bronte. "Wuthering Heights," with language that seemed a breath of fresh air from modern writing styles and an intricate story line, has become one of my all-time favorite books.
This book introduces its readers to a past time, a past language and splendidly illustrated characters. My hopeless romantic side, my love for suspense and the thrill of tragedy were satisfied.
Some time ago we posted several reviews of the film Definitely, Maybe which mentioned a Jane Eyre-related plot element. Monsters and Critics reviews not the film itself, but the soundtrack by Clint Mansell:
Whether featuring guitar or piano, there's a similar musical thread that is featured throughout most of Mansell's tunes, it makes the recording quite uninteresting and dull.
The first track, "Will Hayes for President," sets up this musical theme. In "April (Come She Will)," "It's April," "Summers Over," "Second Thoughts," "Maya Knows," "For Emily (Whoever She May Be...)," and "Jane Eyre" it's as if the composer took that one musical idea and tried to see how he could use it in different ways. (
Sue Klasky)
L'Humanité reviews the recent edition of Jane Eyre plus juvenilia published by Gallimard in the French market:
Il était une fois les enfants d’un pasteur de Keighley passionnés de littérature dès l’âge le plus tendre. L’aînée s’appelait Charlotte Brontë, les autres Patrick Branwell, Emily et Anne. En 1826, le clergyman apporte à son fils un cadeau : douze soldats en bois. De ces figurines, les enfants font des héros, chacun ayant le sien, pour l’un, Wellington, pour l’autre, Napoléon. Ces lecteurs de Bunyan et de Milton, de Byron et, bien entendu, de la Bible (et une Bible magnifiquement illustrée par John Martin), ne tardent pas, grâce à une émulation permanente, à produire des contes et des mondes imaginaires. Charlotte et Branwell se volent parfois leurs héros et souvent se les échangent. Ils mettent en place un jeu littéraire dont les protagonistes meurent et ressuscitent. En 1833, The Founding de Charlotte trouve bientôt un écho dans The Real Life in Verdopolis de son frère. Leurs récits se prolongent, se ramifient, s’enrichissent sans cesse de nouveaux personnages. Aux récits fabuleux s’ajoutent d’autres récits plus réalistes se déroulant dans la bonne société britannique de l’époque.
Les enfants grandissent. Branwell veut devenir peintre et Charlotte commence à enseigner en 1835. Mais loin d’eux l’idée de renoncer à la création littéraire qui remplit leur vie de provinciaux bien isolés du monde. Branwell est assez téméraire pour demander au directeur de Blackwood’s Magazine de remplacer James Hoog, le célèbre auteur des Confessions d’un pécheur justifié, qui venait de mourir. Le père ne les encourage pas dans cette voie. Au contraire, il essaie de les dissuader. Branwell n’en continue pas moins à envoyer poèmes et nouvelles à des revues qui ne répondent jamais. Il ne renonce pas non plus à la peinture. Charlotte est de plus en plus affectée par un métier qu’elle n’aime pas. Comme son frère, elle se réfugie dans le paradis de la fiction. Elle repousse une demande en mariage car elle est assortie d’un projet de pensionnat. Emily enseigne à son tour en 1838 et déteste autant ce métier que sa soeur. Anne fait ses débuts comme gouvernante et Branwell est précepteur à partir de 1840. Les jeux de l’amour et ceux de l’écriture se mêlent dès lors étroitement.
Pour eux, il existe deux mondes : l’un est très concret : l’abnégation et le devoir y règnent ; l’autre est sublimé, plein de fantaisie et de poésie. Charlotte construit un monde romanesque mettant en scène cette violente contradiction : ce sera le fil rouge de la littérature de langue anglaise jusqu’à Thomas Hardy et Henry James. Son premier livre, Jane Eyre, paraît en 1847. Thackeray lui écrit pour lui signifier son admiration.
Ce gigantesque laboratoire d’écriture n’est pas reproduit ici dans son intégralité. Il complète l’édition commencée par Raymond Bellour, d’abord chez Pauvert et puis dans la collection « Bouquins ». L’invraisemblable graphomanie des enfants Brontë a accouché de grands ouvrages. Branwell est mort très jeune et n’a pas pu donner la mesure de sa valeur. La Vie du très honorable Alexander Percy, de Branwell, Mon Angria et les Angriens, de Charlotte, D’un mur de cachot du collège du Sud, d’Emily, Alexander et Zenobia, d’Anne démontrent à quel point cette communauté d’écrivains en herbe a été aussi prolifique que fructueuse et unique en son genre dans la littérature occidentale. (Gérard-Georges Lemaire) (Google Translation)
Librarian and Mule posts about Jean Rhys's Wide Sargasso Sea:
Apart from it being an obvious comment on the relationship between England and the colonies, white British upper-class and .. well, everyone else, really it is also a good comment on the status of women in general.
Strong recommendations abound. I especially like the fact that this gives so much texture to a re-reading of Jane Eyre without being four hundred pages long. (
Mule)
Big Perm Blogs has visited Haworth recently. Only a Novel recommeds ravishly Villette:
Corny as it may seem, at one point while reading, to describe how I felt, forgive me but I came up with the words, “I have died and my soul has seen literary heaven.” This was somewhere in the beginning of Volume II, where the novel really took off in terms of Brontë’s writing and, from that point on, it never came back down from the clouds.
Almost so ravishly as Halsey's Hip Hype describes her reading of Jane Eyre. Finally, two Estonian blogs: Kännu Uudised and Valgeseelik talk about the current production of Wuthering Heights by the Vanemuine Theatre.

Categories: , , , , , , , ,

0 comments:

Post a Comment