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    2 months ago

Friday, January 11, 2013

Friday, January 11, 2013 8:30 am by Cristina in , , , ,    No comments
It may not be nominated to the Oscars but the reviews of Wuthering Heights 2011 never seem to stop coming. From News OK:
I've never been a fan of the Brontë sisters and their gothic romance stories. But director Cary Fukunaga brought such fresh energy to his 2011 adaption of Charlotte Brontë's “Jane Eyre” that I was willing to see Arnold's new vision of “Wuthering Heights,” playing this weekend at the Oklahoma City Museum of Art.
While Fukunaga tapped two of today's most promising young actors — Mia Wasikowska and Michael Fassbender — to play the leads in his “Jane Eyre,” Arnold unfortunately stuck with her practice of casting first-timers for her “Wuthering Heights.” The inexperienced players just aren't equal to the task of traversing the story's unsettling emotional morass. [...]
Arnold's first-time actors are only able to effectively capture the wildness of Heathcliff and Catherine, but the filmmaker makes it clear that the story's animal fierceness is really the only part that interests her. Instead of becoming enamored of fancy frocks and bodice-ripping love scenes, she obsessively focuses on spiders building webs, feral-looking dogs slinking around and doomed rabbits trying to escape snares.
She pares away the florid dialogue to the point that the characters hardly do more than grunt, exchange loaded glances and drop a few f-bombs and other curses. (The film is not rated, but the language would earn it an R.) She forgoes the typical musical score and lets the shrieking wind and other natural sounds provide the soundtrack.
Likewise, Arnold eschews artificial light in favor of gas lamps and candle glow, which gives the movie a realistic and appropriate gloom, but some of the interior scenes are so dark you can't even tell which characters are in them.
The director eagerly divests “Wuthering Heights” of the stifling artifice of the costume drama only to become enslaved by the artifice of the atmospheric indie drama. (Brandy McDonnell)
Le Temps (Switzerland) reviews it too:
Pour ce qui est du récit, la réduction signée Olivia Hetreed ne retenait comme souvent que la première moitié du roman, laissant de côté les prolongements sur la génération des enfants. Mais Arnold y est encore allée de ses propres coupes, qui réduisent le dialogue au strict minimum. Son approche de mise en scène? Un réalisme élémentaire qui gomme tout glamour pour rendre leur rudesse aux hautes collines du Yorkshire, battues par le vent et la pluie. Le tout à la caméra portée, monté avec des ruptures de rythme et une attention particulière au son, sans musique additionnelle. Mais son choix le plus frappant est encore d’avoir confié le rôle de Heathcliff à un comédien noir non professionnel – en fait deux, puisque les personnages adolescents et adultes sont interprétés par des acteurs différents. (Norbert Creutz) (Translation)
The same newspaper also carries an article about Emily Brontë 'still relevant, still betrayed?' which looks at adaptations of her one novel throughout the years.

Le Blog d'Edmée - a Tribune de Genève blog - also reviews the movie:
Dans le roman, il s’agit d‘un gitan. Chez Andrea Arnold, c’est un jeune Noir, ce qui ajoute ainsi une dimension raciale à la question sociale soulevée par le livre. Andrea Arnold, qui se concentre comme  les autres réalisateurs sur les sentiments passionnés que voue l’orphelin sauvage à la fougueuse Cathy, se livre toutefois à une interprétation très personnelle, en nous faisant voir exclusivement les choses du point de vue de Heathcliff.
Dommage pourtant qu’elle nous gratifie d’une mise en scène à la fois expérimentale, maniérée et fiévreuse, où un chien court inévitablement dans la boue et où une branche d’arbre cogne non moins inévitablement sur le carreau d’une fenêtre, dans l'atmosphère brumeuse et glaciale d'une lande désolée fouettée par le vent... Difficile aussi de croire véritablement aux manifestations de rage et de désespoir d’Heathcliff. (Edmée Cuttat) (Translation)
The Dartmouth reports that the Dartmouth Film Society kicks off an historical series which will feature the film as well.
In another boldly adapted romance, “Wuthering Heights” (2012; Jan. 18), Emily Brontë’s male protagonist, Heathcliff, is portrayed as an Afro-Caribbean runaway slave. (Caela Murphy)
Le Monde's Alchimie du collège reviews the film The Trip, which includes Brontë references.
En 2010, Michael Winterbottom a sorti un film réjouissant, The Trip. Deux acteurs anglais de renom y font le tour des grandes tables du nord de l'Angleterre afin d'effectuer un reportage pour un magazine. Tout au long du film, les deux personnages rivalisent d'imitations diverses (Michael Caine, Woody Allen, Richard Gere, les différents James Bond, etc...), bouffent, discutent de tout et de rien, rigolent pas mal,  sombrent dans la mélancolie, se confrontent aux terres des soeurs Brontë, récitent du Wordsworth, imaginent des oraisons funèbres,  évoquent et pastichent Coleridge, mélangeant allègrement, au fil des routes,  références littéraires et blagues triviales très contemporaines, pas forcément faciles à saisir, surtout pour un Français. (Mara Goyet) (Translation)
Onirik reviews (with pictures) Jane, le renard et moi, deeming it a 'wonderful tribute to Jane Eyre'.
Hélène est victime de harcèlement et d’intimidation à son école.
Elle trouve alors refuge dans le monde de Jane Eyre, le premier roman de Charlotte Brontë...
Jane le renard et moi est un récit touchant qui présente avec justesse la méchanceté que les enfants peuvent déployer l’une envers l’autre. [...]
C’est précisément le parti-pris de l’illustratrice, Isabelle Arsenault, qui habille le texte de ses dessins poignants, de toutes les nuances entre le noir et le blanc, avec maturité et douceur.
Quand vient le récit de Jane Eyre, des couleurs chaudes apparaissent, comme la rencontre avec le renard, la couleur symbolise tout ce qui fait du bien à Hélène.
Petite merveille venue du Canada, Jane, le renard et moi fait puise ses références dans le meilleur de la littérature, de Jane Eyre au Petit Prince, mélangeant habilement rêve et réalité.
A découvrir de toute urgence ! (Claire) (Translation)
La Presse features a production of Billy Elliot the musical in Montréal and mentions
la longue tradition littéraire britannique du héros orphelin qui prend sa revanche sur la vie, d'Oliver Twist à Jane Eyre en passant par Harry Potter et même The Wall de Pink Floyd. (Aline Apostolska) (Translation)
More bad reviews of Jane Eyre on Bad reviews of good books. Seriously Read reviews Wish you Were Eyre by Heather Vogel Frederick. Wastepaper Prose reviews Catherine by April Lindner. YouTube user disasterresides has uploaded a 'Jane Eyre Book Trailer by Charlotte Brontë' while another user, SelectiveMemories, has uploaded a lovely video of an 18-month-old girl reading Little Miss Brontë's Jane Eyre.

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