Podcasts

  • S2 E1: With... Jenny Mitchell - Welcome back to Behind the Glass with this early-release first episode of series 2 ! Sam and new co-host Connie talk to prize-winning poet Jenny Mitchell...
    3 weeks ago

Monday, February 01, 2021

Monday, February 01, 2021 11:05 am by Cristina in , , , ,    No comments
 CBR reviews Kieron Gillen and Stephanie Hans’s comic DIE.
Other literary figures such as the Brontës and H. G. Wells also appear, as their contributions to early games and real-world events are addressed, but just as interesting are the fantasy classic characters. The Seven Dwarves tragically can only feel the emotions of their names, regardless of how they wish to feel. The vampire lord Strahd is re-imagined as Lord Zamorna, whose relationship with Ash explores the coercion, abuse, and realpolitik of the feudal marriages romanticized in Gothic literature. (Theo Kogod)
While IndieWire reviews the film Prisoners of the Ghostland.
But is there a winged “Rat Man” whose modulated voice makes him sound like a Muppet who played in toxic waste, a prophecy about a man with “thick red blood” who will be the Ghostland’s salvation, and a dramatic reading from “Wuthering Heights?” Of course there is! (David Ehrlich)
Diacritik (France) interviews French poet Sandra Moussempès.
Pour achever provisoirement notre évocation des figures féminines, parlons de celles que vous nommez explicitement d’un poème à l’autre vos héroïnes des héroïnes, à savoir autant de figures mythiques ou d’autrices dont voici notamment : « Lilith, Iphigénie, Emily, Cindy ». Pourquoi convoquez aussi bien une photographe que des autrices ? En quoi s’imposent-elles pour vous comme autant de figures héroïques ? Que représentent-elles pour vous au moment où vous écrivez ?
J’ai écrit sur les photos de Cindy Sherman dans mon second livre chez Flammarion, Vestiges de fillette, et depuis, les Cindy, clonées sont dans le collimateur de ma pensée. Lorsque le modèle devient doublure et que la doublure finit par photographier la photographe, les langues se délient. Ce cinéma inquiétant, celui en vase clos avec des poursuites sans poursuivants, que l’on sent pourtant nous suivre à la trace, c’est cela qui sert l’étrangeté du monde. Ces figures féminines, ces héroïnes amplifiées, sont aussi des prénoms/phénomènes, des obsessions. Il y a ce travail d’enquête sur soi-même comme dans le travail de Sophie Calle, intégrer une autre « persona » (titre d’un de mes poèmes). Et dans quelle chambre ma doublure se trouve-t-elle ? Cindy Sherman associe la séduction au multiples « soi », femmes ou hommes, elle se transmute. Les Emily (Dickinson ou Brontë) sont aussi des femmes portraitistes d’elles-mêmes qui écrivirent leur propres scènes d’absolu sans les avoir jamais expérimentées. Heathcliff est un personnage inventé de toute pièce par une femme.
Certaines femmes ont une idée déjà faite de ce qu’elles sont, elle se sont façonnées sans problème à l’aide d’injonctions sociétales dont elles se servent, d’autres ont besoin de miroir, de photos, de corporalité. Je suis performeuse aussi pour exprimer cette corporalité au travers de ma voix. (Translation)
Explica recommends Jane Eyre as one of nearly 70 books to give 'to a woman'. 
Jane Eyre, by Charlotte Brontë
A little Victorian fiction is always a good gift for book lovers. And the story of the seemingly simple Jane Eyre and the now mythical Mr Rocherster [sic] is perhaps the best example of the genre.
Not so mythical if you can't even spell his name!

Blue Stocking Reviews posts about The Wife Upstairs by Rachel Hawkins. The Oddness of Moving Things posts about Charlotte Brontë Before Jane Eyre by Glynnis Fawkes. AnneBrontë.org has a post on 'Charlotte Brontë and Dr. William MacTurk'.

0 comments:

Post a Comment