BBC Culture has 'polled 368 film experts from around the world for their favourite films directed by women' and a few of them have picked Andrea Arnold's
Wuthering Heights: Ernesto Diezmartinez – Freelance film critic (Mexico), David Fear – Film critic and editor for Rolling Stone (US), Anna Maria Pasetti – Freelance (Italy) and Martin Schweighofer – Executive director of Austrian Films (Austria). Unfortunately,
Wuthering Heights doesn't make it onto the top 25, but another film of hers,
Fish Tank, does.
The Stage interviews theatre designer Cécile Trémolières.
What is your next job? Designing Manon Lescaut by Puccini in Mainz, Germany; designing Wuthering Heights at Manchester’s Royal Exchange; designing the opera Edmea at the Wexford Festival, Ireland. (Natasha Sutton Williams)
Vanity Fair has an article on the books that inspired Hannah Coffin's AW19 Collection.
Jane Eyre by Charlotte Brontë
Jane Eyre is one of my favourite classics. It’s a beautiful book that describes the passionate love between a courageous orphan, Jane, and the brilliant Rochester. It portrays a woman’s quest for self-respect so well and proves that love really does conquer all. Charlotte Brontë’s description of setting and scenery is so intricate. We based our AW19 “Think of Me” collection on the Northern Ballet’s production of the book—think Victorian necklines, flowing tulle and pretty lace details.
Culturo Poing (France) reviews Pam Smy's
Thornhill.
Pam Smy s’inscrit indéniablement dans une tradition de la littérature, du romantisme noir d’Emily Brontë à la vision d’une adolescente différente aux étranges pouvoirs telle que Stephen King put l’imaginer dans Carrie. (Olivier Rossignot) (Translation)
Africa Rivista (Italy) has a short article on the Italian translation of
In the House of the Interpreter: A Memoir by Ngũgĩ wa Thiong’o.
Si tratta dei decisivi cinque anni di college, istituto ovviamente coloniale britannico, e comunque uno dei più prestigiosi del Paese, durante i quali il giovane “James” matura, a contatto con i compagni, con i professori – bianchi ma anche qualcuno africano –, con la storia che ribolle attorno (sono gli anni dei Mau Mau) e tocca da molto vicino la sua famiglia, con gli interrogativi filosofici e anche teologici, con le grandi letture (da Emily Brontë a Tolstoj). (Pier Maria Mazzola) (Translation)
GQ France interviews Augustin Trapenard, who brings up his Brontë research.
Engagé depuis 2018 auprès de l’association Bibliothèques Sans Frontières, Augustin Trapenard confie qu’il s’agit là de « l’engagement de sa vie ». Déjà, en 2017, il avait été contacté par l’ONU pour être ambassadeur HeforShe, une campagne mondiale promouvant l’égalité des sexes. Alors question : se considère-t-il comme un homme féministe ?« Au moment du TED X que j’avais réalisé pour HeforShe, justement, je disais que j’étais féministe. J’étais un grand lecteur d’études féministes, j’avais consacré une partie de mes études à travailler sur Emily Brontë (l’auteure des Hauts du Hurlevent, ndlr), sur les problématiques de genre. Et je me disais : s’il y a une personne féministe, c’est bien moi. Puis, en observant comment la pensée des féministes évoluait, j’ai compris ce qu’elles voulaient dire : un homme peut être à la limite un allié mais certainement pas un féministe. Le problème est toujours le même : la domination de l’homme, c’est aussi une domination de langage. Si on parle à la place des femmes, c’est problématique. Je me dis toujours, en tant qu’auditeur, pourquoi ce n’est pas une femme qui parle ? Prenez tous les sujets autour de la GPA en ce moment, c’est hallucinant, cela touche particulièrement les lesbiennes et on ne les voit pas sur les plateaux. On ne les entend pas. (Jean Perrier) (Translation)
Calmgrove discusses
Jane Eyre as a feminist work.
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