The publication of
Go Set a Watchman by Harper Lee is triggering articles about one-hit wonders. In the
New Jersey Record:
Two other romance novels that became film classics were also written by one-hit wonders who were known, primarily, as poets: Emily Brontë's "Wuthering Heights" and Boris Pasternak's "Doctor Zhivago."
"Wuthering Heights" was first published in 1847, using Brontë's pen name, Ellis Bell. A second version, printed in 1850 — two years after her death, from tuberculosis, at age 30 — used her real name. (Bill Ervolino)
The Statesman (India) thinks that
Tea-scenes are remarkable in their frequency in the works of Dickens, Jane Austen and the Brontë sisters. At teatime would-be lovers exchanged longing glances; mothers chose suitors for their daughters and rivals traded veiled insults in polite singsong tones. (Manas Das)
Queerty talks about the Madonna
Truth or Dare 1991 documentary and unveils an almost forgotten piece of
Wuthering Heights trivia:
The plum directorial assignment had landed in the lap of the then-24-year-old [Alek] Keshishian after Madge had seen an innovative pop opera adaptation of Wuthering Heights, that used her music and songs by Billy Idol and Kate Bush to propel the story along, he made while still a student at Harvard. (Jeremy Kinser)
The production was produced in 1986 at Harvard and you can read about it in
The Harvard Crimson or check this clip
here.
Le Nouvel Observateur (France) recovers an interview with the author
Louis-René des Forêts (1918-2001):
C'est un phénomène qui m'a beaucoup frappé quelquefois, et en particulier en une circonstance précise: ayant lu dans ma jeunesse un livre, et le reprenant des années plus tard, je ne l'ai pas reconnu. A tout le moins je ne l'ai pas reconnu dans la topographie que ma lecture lui avait d'abord assignée. Il s'agit en l'occurrence d'une oeuvre étrangère, «les Hauts de Hurlevent».
Je devais avoir 18 ou 19 ans lorsque j'ai lu le roman d'Emily Brontë pour la première fois, et je le situais dans un endroit à la fois imaginaire, je veux dire imaginé par moi, et bien réel par d'autres aspects, en tout cas qui avait quelque rapport avec ma vie d'alors. Cette transposition pouvait être assez insolite. Par exemple, les grandes scènes des «Hauts de Hurlevent» se passaient dans la cuisine de la propriété que ma grand-mère possédait dans le Poitou. On se demande pourquoi !
Mais bien plus tard j'ai éprouvé de la gêne quand j'ai relu l'ouvrage: je ne situais plus rien de la même manière, je ne voyais plus les scènes dans le même espace, dans le même décor. C'est assez curieux, mais ça m'a profondément gêné. Et encore avais-je rouvert le même volume.
Je ne pouvais pas incriminer une traduction fautive, ou qui aurait édulcoré mon souvenir. Car les oeuvres étrangères, en outre, sont parfois le champ de conflits ou de tiraillements entre des traductions discordantes, et pour citer encore le malheureux chef-d'oeuvre d'Emily Brontë, celle qu'avait donnée Jacques de Lacretelle des «Hauts de Hurlevent» m'avait paru très plate, bien qu'en ce qui me concerne elle ne fût pour rien dans ce changement de vision infiniment troublant et parfois même dommageable lors de cette relecture à quelques années de distance. (Interview by Jean-Louis Ezine) (Translation)
Femina (Switzerland) talks with
Guillaume Musso:
Sa fibre littéraire, elle, grandissait depuis longtemps. A onze ans, plutôt que d’aller à la plage l’été, Guillaume lit à la bibliothèque où travaille sa mère: «Tous ces bouquins, comme dans un immense château! Il fallait que je fasse des choix. Ma mère m’a aiguillé vers mon premier coup de cœur, «Les Hauts de Hurlevent», d’Emily Brontë. J’étais chez mes grands-parents pendant les vacances de Noël, la télé était en panne, je devais combler mon ennui. Ça a été une révélation.» (Hélène Béziat) (Translation)
A local student and waterpolo player fan of
Wuthering Heights in
The Record;
RAI Premium has broadcasted this weekend
Cime Tempestose 2004.
Absolutely Gothic posts about Catherine's Self-Imposed Solitary Confinement in
Wuthering Heights.
Lady Bookshire reviews Catherine Reef's
The Brontë Sisters: The Brief Lives of Charlotte, Emily and Anne.
0 comments:
Post a Comment