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Monday, September 25, 2023

Monday, September 25, 2023 7:36 am by Cristina in , , , , ,    No comments
Limelight describes the new recording of the Suite from Wuthering Heights by Bernard Herrmann as 'vocal heaven'.
We end with an opera, and a not-quite opera. The latter is the gorgeous suite from Bernard Herrmann’s Wuthering Heights sung by soprano Keri Fuge and baritone Roderick Williams with the Singapore Symphony Orchestra under conductor Mario Venzago (Chandos CHSA5337).
Herrmann’s opera took him eight years and wasn’t staged until seven years after his death in 1975. Hans Sørensen’s 2011 symphonic treatment – the term suite somehow seems inadequate – honours the composer’s hefty orchestral demands, including 12 woodwinds, 11 brass, a battery of percussion, two harps and an organ. It also fillets the opera, presenting the story as a kind of ghostly conversation between Cathy and Heathcliff, their voices fading in and out like ships that pass in the night. Swathes of grand and often haunting instrumental music conjure visions of the moor in all its moods. It certainly whets the appetite for a decent recording of the complete opera. (Clive Paget)
La Presse (Canada) has a contribution by comedian Émilie Bibeau on her fascination for Wuthering Heights as a teenager.
C’était une époque où les émois de toutes sortes se multipliaient dans ma vie d’adulte naissante. Et parmi ces émois : le superbe roman Les Hauts de Hurlevent d’Emily Brontë.
Ayant grandi dans la banlieue de Québec, qui n’avait rien du mystère et des merveilles obscures des landes du Yorkshire, et malgré une enfance heureuse et paisible, déjà le début du livre m’avait intriguée quand on y parlait « d’un endroit si parfaitement soustrait au train du monde » où se vivait une passion déchirante… Et où cette vie, comme l’écrivait Aragon, « aura passé comme un grand château triste que tous les vents traversent ».
J’avais sous-estimé et jamais ressenti avec autant de force ce que l’univers du vent dans un paysage vaste et dépouillé impose, jusqu’à un séjour récent pour un tournage aux Îles-de-la-Madeleine, où le temps ambiant m’a replongée au cœur des Hauts de Hurlevent. Surtout, dans ce que cet écrit m’avait intellectuellement enseigné jadis, et dans le souvenir qu’il a ravivé, physiquement cette fois.
C’était au mois de mai dans un paysage aussi magnifique qu’énigmatique, et le vent, la pluie, le froid qui n’ont pas lâché, m’ont placée dans un combat physique constant qui m’a d’abord appris, il faut bien l’admettre, l’humilité.
Des joues engourdies par le froid, flagellées par le vent, des cheveux constamment en bataille, indomptables, une force telle que je pouvais presque sentir mon propre corps s’envoler. Je jure que je n’exagère pas ! (Translation)
El Placer de la Lectura (Spain) looks at this week's new releases including a Spanish translation of Precious Bane by Mary Webb.
La obra maestra de Mary Webb, escritora que fue comparada con Thomas Hardy y Emily Brontë, posee la clarividencia atemporal y la sublime belleza que caracteriza a los mejores clásicos de la literatura. (Translation)
AnneBrontë.org marked the anniversary of Branwell's death yesterday by looking at accounts of it.

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