The Mirror reports that Rawdon Hall in Leeds is for sale for the first time since being built by George Rawdon 425 years ago.
Estate Agents Dacre, Son and Hartley wrote on their listing: "The property has seen many comings and goings over the generations including the requisition of the house by the Queen's Westminster's Infantry Regiment during the Second World War (with a recorded visit by field Marshal Montgomery), whilst family lore suggests Charlotte Bronte visited in 1841 and potentially wrote of her time at the fictional ''Thornfield Hall'. (Danya Bazaraa)
It seems like Charlotte may have visited the Hall when she worked as a governess at nearby Upperwood House.
Reconnaissons à la mise en scène de cette tragique révélation le bénéfice d’une certaine élégance et originalité, prenant le parti le relater la tragédie à la manière de Tenet (2020), partant de la découverte par le fils du corps inanimé de la mère auréolé d’une lumière matutinale… pour arpenter "ensuite" la flèche du temps en sens inverse – comme l’aura fait Jean-Luc lui-même tant de fois sous l’emprise de la culpabilité – jusqu’à sa décision séminale et fatale… d’ouvrir la porte ! Dans une autre série, par exemple une libre adaptation de Jane Eyre de Charlotte Brontë ou de Don’t Look Now de Daphné du Maurier, une pareille séquence aurait eu toute sa place, elle aurait même pu être poignante comme miroir de la cruauté intrinsèque du 19ème siècle…
Hélas, dans le contexte particulier de la jeunesse de l’homme des lumières de l’utopie trekkienne du 24ème siècle, ce parti pris devient contreproductif tant il réussit à avoir absolument tout faux, qui plus est de la plus insultante des manières.
(Frank Mikanowski and Yves Raducka) (Translation)
Brussels Brontë Blog has a post on Monica Kendall's presentation of her book Lies and the Brontës – The Quest for the Jenkins Family to the Brussels Brontë Group last Saturday.
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